Peaux de bêtes et sauvages
Une fois une première peau de bête réussie ... et bien je me suis empressé d'en faire d'autres ! :))) Et puis c'est sympa d'avoir les mêmes peaux de bêtes à la fois sur des romains et des germains. Ca rend la table "cohérente", "homogène" enfin je ne sais pas comment dire ... vous voyez ce que je veux dire ?
A mon humble avis, la réussite d'une peau de bête ne viend pas de 36 "brossages" savants, ni de fondus sophistiqués, mais de la distinction du museau et des dents. (Et juste en passant, ces quatre là font partie des mes figurines que je trouve les plus réussies.)
Et pour enchaîner, voici les sauvages à tête rouge. Les peints, et les pas peints. En fait il n'y a que quatre couleurs sur eux : la peau, le rouge, le bois du manche et le métal. C'est tout :) (en ajoutant les peaux de bête ça fait 5 / 6 couleurs). Il faudrait quand même que je les finisse. Toutes sont des Bersekers Viking de chez Foundry. Mais bon, un homme nu et barbu est intemporel :) J'en ai déjà parlé, mais la tête rouge est très historique ! (Juste pour illustrer en passant ma conviction que l'histoire est une bien meilleure source d'idées farfelues et spéctaculaires que n'importe quel univers endo-fluf).